ALAIN TURBAN
Alain TURBAN
Fils de forains et propriétaires d'un bistro, Alain Turban passe une enfance heureuse à Montmartre aux côtés d'une mémé d’adoption tant chérie qui s'occupait de lui tout en assumant ses fonctions de blanchisseuse et de concierge.
Passionné de fêtes foraines, le petit garçon à l’âme vagabonde rêvait déjà du cirque Medrano dans sa tendre jeunesse. Toutefois à cette époque, le choix du métier d'artiste n'était pas encore très mûr en lui.
D'ailleurs, après une adolescence tranquille sur les terrains de jeux, les bancs de la communale et les places publiques de son quartier, il quitte les lieux pour s'embarquer dans des aventures assez loin de l'univers artistique.
Les petits boulots
En effet, à la suite de son mariage et son transfert en banlieue, ce sont les petits boulots de tous genres qui remplissent ses journées. Il commence dans l'imprimerie avant de devenir un chauffeur de taxi parisien puis marchand forain.
L’ARDECHE
Au bout de cinq années d'aventures sur les places des marchés, l'homme aux mille métiers part en Ardèche pour diriger une discothèque.
Sa carrière musicale commence alors avec la signature de contrats et l'enregistrement de quelques chansons.
«Les rendez-vous du dimanche » et « Santa Monica », les fameux coups d'éclat.
Après le parcours initiatique en Ardèche, Alain Turban sort de l'ombre en 1978 en participant à l'émission « Les rendez-vous du dimanche » de l'illustre Michel Drucker qui lui donne des ailes.
La même année, sa chanson « Quatrième dimension » connaît un grand succès auprès du public de l'Hexagone. Dans la foulée, l'artiste enchaîne avec le disque au titre anglais « Santa Monica & Loving shadow » qui fait un énorme carton en 1979, notamment avec le tube retentissant « Santa Monica ».
Devenue une grande figure du disco, la star assoit sa notoriété en 1980 en multipliant ses tournées et concerts à travers Paris, les villes de province et certaines villes européennes.
Entre temps, il offre le titre « Tout le monde a pleuré », en souvenir de Claude François, « Et je t'aime » ainsi que « L'amour et la nuit & Je veux du rock » tous sortis en 1980.
Plus tard avec l'évanouissement du disco, le chanteur change de répertoire et cartonne avec un autre tube du Top 50 en 1984, avant de se retrouver sur la scène de l'Olympia.
« Turbanovitch », le signe des vingt ans de carrière
Plus tard, Alain Turban, fort de sa grande maturité musicale, crée une maison de production intimement nommée Pony Music en hommage à son grand ami Pony.
Ses cartons « On est tous des clowns », « Mystique », « Jean d’ici Jean d’ailleurs » ou encore « De l’autre coté de la vie » verront alors le jour sous ce label.
Après des années de création enrichies de ses nombreuses prestations scéniques, le chanteur lance son opus mythique « Turbanovitch » en 1999, à l'occasion de l'anniversaire de ses vingt ans de carrière.
La sortie de l'album a été suivie d'une grande tournée française qui confirme encore une fois l'attachement du public de l'Hexagone à l'artiste.
L'année d'après, la vedette se retrouve en sud Ardèche où il concocte un nouvel album « Chanter l’Ardèche » ainsi que de nombreuses autres chansons dont celle, délicate et généreuse, co-interprétée par Alain, Hélène Mignerey, Nicolas Richardouin, dédiée à Jean Ferrat « La maison d’Antraigues ». Elle est au générique du spectacle de la Ferme Théâtre « Jean d'ici, Ferrat le cri »
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